Longtemps j'ai chié de bonne heure, ne me souciant de rien d'autre que du délicat passage du reliquat, qui, allié à toutes les focalisations aggravées d'inquiètes spéculations et à tout le carnaval des parfums sulfureux trompettant et gargouillant, forgent, par la soumission à la plus puissante...
Yibobo vodoun, ayibobo vodoun ! Orisha, tu es prête pour le voyage. Écoute la voix de Mawu, entends le chant de la savane, cherche l'appel de la terre.
Oukeni, à quoi ressemble le monde d'en dessous ?
Aucun de ceux qui foulent la surface ne le sait. Il n'y a que les morts qui ont franchi ses portes...