"Vous vous souvenez la dernière fois qu’on a fait escale à Poésie-ville ? Je ne sais pas ce que vous y avez fait, mais, moi, je suis repartie de la ville avec mes vêtements tachés de sang, un œil au beurre noir, et 1000 pièces d’or en poche. Et c’est cette histoire-là que je vais vous raconter."
Le mercenaire ne connaissait pas les frontières. Il ne prêtait allégeance à personne, n’était attaché à aucune servitude, à aucun pays, aucun héritage. En cela, il était libre. Rien ne lui appartenait, si bien que le monde entier lui appartenait. Et les gens le haïssaient pour ça.
« Maraudeur, long...