Avec (dés)

Vous êtes Keijiro, un samourai du temple sacré de Tsuba. Votre mission est de parcourir le sud-est de l'île principale de l'archipel d' Ojikinawa afin de rejoindre "les trois villages". Une réunion importante doit s'y dérouler. Mais votre route sera longue, dangereuse et Kankoji, le seigneur du mal et tyran à la soif de conquête illimitée fera tout pour vous anéantir. Évoluez dans un monde de doute, de trahison et d'horreur, usez des techniques les plus meurtrières et parvenez au but de votre voyage.

Version démo de "KULT - Le temple de Zorq", comprenant l'introduction et une des cinq épreuves, en hommage à la démo shareware du jeu d'origine. La démo est complète en soi, avec un début et une fin.

Présentation :

"KULT : le temple de Zorq" est une adaptation en AVH du jeu vidéo "KULT : Temple of the Flying Saucers" (pour sa version européenne), aussi connu sous le nom de "KULT: Chamber of the Sci-Mutant Priestess" (pour sa version américaine), publié par Exxos en 1989.

1251 après la Venue du Peuple d'Harmonuil en Oloïd. La Longue Guerre - après un répit de quelques mois - reprend , le Volyl ayant rompu les serments prêtés durant l'été précédent. De nouveau le sang se répand sur la terre. De nouveau des cadavres sans nombre jonchent le sol.

Alors que votre père se présente pour postuler au consil des 5 sages, des hommes vêtus de noir font irruption et font un massacre. Seul indice : une feuille arborant un phoenix Noir. Vous allez partir de votre village pour retrouver votre père (en espérant qu'il soit encore en vie) et tenter de combattre avec les forces royales ces fameux phoenix noirs. Arriverez-vous a temps pour contrer leurs projets et sauver votre père ?

Simple esclave noyé parmi la multitude, vous avez vu votre monde s’écrouler sous vos yeux suite à l’effondrement économique engendrant la troisième guerre mondiale. Pourtant, même au plus profond des ténèbres, une simple étincelle peut parfois faire toute la différence. Bien que vous ne le sachiez pas encore, c’est à VOUS qu’il incombe de découvrir qui se cache réellement derrière cette mystérieuse puissance ayant réduit la Terre à l’état de dictature mondiale. Cette aventure vous emportera par-delà les confins de l’entre-deux-mondes.

Vous vous appelez Hissssa, et vous êtes un changeur de forme. Makan, c’est l’endroit où vous vivez, une petite île volcanique perdue dans l’océan. Comme tous ceux de votre race, vous avez le pouvoir de modifier votre apparence à volonté, et c’est pour cette raison que le Père des Cauchemars vous a confié une mission de la plus haute importance : infiltrer l’armée humaine qui a envahi votre asile, trouver son chef et le tuer. Surtout, prenez bien garde à ne pas dévoiler votre vraie nature à vos ennemis, car ils seraient sans pitié.

Lorsque le plus grand aventurier de Titan émoussé par les méfaits du temps se retrouve embarqué dans sa toute dernière et ultime aventure, réglez les sonotones et astiquez les déambulateurs, car voici venir le terrible hospital de la mort ! 

Durant cette singulière équipée, vous dirigerez une créature de taille réduite, usant d'émissions de phéromones et de contacts antennaires pour communiquer avec ses innombrables congénères. Également capable de porter jusqu'à 60 fois son poids, de se mettre en hibernation durant des mois, elle a la chance d'appartenir à une espèce ayant survécu à tous les cataclysmes depuis plus de 100 millions d'années !

À la mort de votre grand-père, vous héritez de la demeure familiale, refuge de vos années d’enfance : Le Grand-Roque. Joueur d’échec professionnel, votre carrière vous a tenu trop souvent éloigné de vos racines et vous le déplorez désormais. Ce sont avec elles que vous avez décidé de renouer en vous réappropriant la maison perdue, trônant dans son pays de forêts sombres, de falaises vertigineuses et de secrets anciens...

Incarner un tueur de zombi c'est cool non ? Et bien cette aventure te propose d'incarner un zombi, un vrai de vrai 100% viande pourrie.

Prépare ton cerveau putréfié, tes mains décharnées, et tes dents (celles qui te restent) et passe à table mon bon Georges !